Wesh alors,
Pour ne rien vous cacher, on n’avait pas prévu ce numéro 3 sur ces sujets : censures, pressions et intimidations. Mais suite à la parution du premier numéro sur Le Ferry – Lieu de Vie Culturel à Palaiseau – nous avons vu tellement d’obstacles se dresser sur notre chemin, que nous nous devions d’en parler.
Mais comment parler de la censure quand on est soi-même victime de cette dernière ? Aujourd’hui nous décidons d’emprunter les quatre chemins, de brouiller les pistes, et ainsi de laisser nos détracteurs dans la boue, celle qu’ils ont eux-mêmes répandue.
Le Petit ZPL ne se soumettra à aucune forme de censure que celle qu’il s’imposera à lui-même.
L’autocensure est souvent motivée par la volonté d’être politiquement correct. Ici ce n’est pas notre cas. Dans ce numéro, si nous parlons principalement des péripéties du Petit ZPL, c’est pour ne pas mettre d’autres personnes en difficulté que nous-mêmes, par déontologie. Cependant, tendez une oreille à Palaiseau, et vous y entendrez certaines anecdotes qui vous donneront peut-être envie de faire un journal.
Dans l’édito’zer du premier numéro du Petit ZPL, nous clamions avec ferveur que ce journal vivra pour « contester la morale, défier l’autorité, affronter la bienséance… ». Aujourd’hui nous pouvons y ajouter : délier les langues, mater les matons, dégonfler les oppresseurs…
Amour radical,
L’équipe du Petit ZPL